Le droit de grève

    Qui fait grève ? Des salariés, des personnes qui sont tous majeurs, qui ont au minimum 18 ans, des gens dits "adultes"... .

 La grève est une action collective, qui consiste en une cessation concertée du travail par les salariés d'une entreprise (d'un secteur économique) ou par extension de tout autre personne productive, parfois à l'initiative des syndicats. Elle vise à lutter contre une situation ou une mesure jugée inacceptable, en faisant pression contre le supérieur hiérarchique ou l'employeur (chef d'entreprise ou patron), par la perte de productivité qu'elle entraîne. C'est une épreuve de force, le travailleur n'étant pas rémunéré.
    cf. Wikipédia

    Prenons à présent un enfant, qui désire regarder un film (qui termine à 22h30). Or cet enfant doit se lever tt le lendemain pour aller à l'école :
=> Réaction de l'enfant : il boude, il crie, il ne dort pas jusqu'à pouvoir regarder sa série préférée.

    En résumé, faire grève, c'est la réaction d'un gamin qui boude, qui fait tout pour se faire remarquer, qui "fait chier le monde" afin d'obtenir immédiatement son bien.
   

    Nous parlons bien de salariés qui font grèves  ? des gens adultes ? mais  qui ont des réflexes enfantins !!! Quelle attitude responsable !! Responsable vous dites ?
   
    Quel exemple pour les générations à venir !!


    Aujourd'hui, la grève est devenu une solution trop facile. Elle a perdu toute son importance, sa crédibilité.
    En effet, nous essuyons en France chaque année une multitude grève ( par ailleurs, les français sont réputés pour le bon vin, mais également les grèves ... la honte ! )... . Même les lycéens, les étudiants font grèves (des étudiants qui sont entièrement manipulés mais ça c'est un autre débat) !!!

    De toute manière : "Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits.".

    Les grévistes pensent ils aux conséquences de leur "stupides" pratique ?

   Oui, ils font grève pour faire se faire remarquer et ennuyer la vie d'autrui.
    Les grèves sont sont plus lourde de conséquence sont dans les transports en commun. Déjà que nous faisons face au réchaufffement climatique de la planète, nous sommes incité à utiliser les transports en commun afin d'avoir moins de pollution, éviter les effets de serres... .

    Certains ont manqué leur entretien d'embauches, certains en sont devenus malades, d'autres ont dû avoir de grosses semaines dû aux trains suspendues, et/ou supprimés.
   

    C'est un manque de respect de la vie d'autrui.

    Et quand le lis l'article 4 des droits de l'homme et du citoyens :

"La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi."

    Finalement, le droit de grève, est ce vraiment un droit ? ou juste un nom sur la répartie de salariés mécontents ?

    Quelque soit la réponse, dans tous les cas, la conséquence est imposée à autrui. Alors que les grévistes ils ont le choix de reprendre le travail ou non, tandis que d'autres en cherchent.

    Mes demoiselles, mes dames, messieurs les grévistes : "Faites grève le dimanche, arrêtez de prendre les gens en otage."

Comments

[PapyMai68]

Vous parlez d'"exemple pour les générations à venir", mais quel exemple doit-on en tirer d'une personne qui bafoue un droit si durement acquis par nos générations précédentes dont la mienne ?

Je ne pense pas qu'on puisse tirer exemple de votre piètre raisonnement.

[Samy]

Je vous rappelle que vous avez commencé votre article par une analogie franchement malhonnête.
Pour valider votre droit à ne pas être pris en otage, vous légitimez aux yeux de tous le concept de chantage social. Je vous donne quelques exemples :

- On ne fait plus grève car des personnes dépendent de nous.
- On ne légifère pas sur la pollution sous peine de réduire des emplois.
- On justifie une baisse des salaires par un taux de chômage important.
- ...

Le prince de Machiavel aura bien sur la finesse d'utiliser ces éléments pour diviser les gens. D"iviser pour mieux régner". Ainsi ces arguments ont été utilisés maintes fois : les noirs contre les blancs, les honnêtes gens contre les fraudeurs, les français contre les sans-papiers...
La peur est un moteur pour la politique. Et vous l'utilisez une nouvelle fois : "ne pas être otage".
Quel patron réaliserait une hausse globale du salaire de ses employés, un arrêt de son licenciement injustifié, une création de Comité d'entreprise, la mise en place de délégués du personnel et bien d'autres, s'il n'y avait pas eu des grèves qui avaient débouchées sur des lois ?
Alors forcément que la grève prend des gens en otages mais c'est cela la grève.

[Samy]

Je vous rappelle que vous avez commencé votre article par une analogie franchement malhonnête.
Pour valider votre droit à ne pas être pris en otage, vous légitimez aux yeux de tous le concept de chantage social. Je vous donne quelques exemples :

- On ne fait plus grève car des personnes dépendent de nous.
- On ne légifère pas sur la pollution sous peine de réduire des emplois.
- On justifie une baisse des salaires par un taux de chômage important.
- ...

Le prince de Machiavel aura bien sur la finesse d'utiliser ces éléments pour diviser les gens. D"iviser pour mieux régner". Ainsi ces arguments ont été utilisés maintes fois : les noirs contre les blancs, les honnêtes gens contre les fraudeurs, les français contre les sans-papiers...
La peur est un moteur pour la politique. Et vous l'utilisez une nouvelle fois : "ne pas être otage".
Quel patron réaliserait une hausse globale du salaire de ses employés, un arrêt de son licenciement injustifié, une création de Comité d'entreprise, la mise en place de délégués du personnel et bien d'autres, s'il n'y avait pas eu des grèves qui avaient débouchées sur des lois ?
Alors forcément que la grève prend des gens en otages mais c'est cela la grève.

[Samy]

Je vous rappelle que vous avez commencé votre article par une analogie franchement malhonnête.
Pour valider votre droit à ne pas être pris en otage, vous légitimez aux yeux de tous le concept de chantage social. Je vous donne quelques exemples :

- On ne fait plus grève car des personnes dépendent de nous.
- On ne légifère pas sur la pollution sous peine de réduire des emplois.
- On justifie une baisse des salaires par un taux de chômage important.
- ...

Le prince de Machiavel aura bien sur la finesse d'utiliser ces éléments pour diviser les gens. D"iviser pour mieux régner". Ainsi ces arguments ont été utilisés maintes fois : les noirs contre les blancs, les honnêtes gens contre les fraudeurs, les français contre les sans-papiers...
La peur est un moteur pour la politique. Et vous l'utilisez une nouvelle fois : "ne pas être otage".
Quel patron réaliserait une hausse globale du salaire de ses employés, un arrêt de son licenciement injustifié, une création de Comité d'entreprise, la mise en place de délégués du personnel et bien d'autres, s'il n'y avait pas eu des grèves qui avaient débouchées sur des lois ?
Alors forcément que la grève prend des gens en otages mais c'est cela la grève.

[ultrabody]

Je ne suis pas contre le droit de grève, mais contre le fait qu'autrui soit pris en otage.

On demeure libre et égaux en droit, ceci dit, il faudrait penser aux autres, et éviter d'être égoïste tout de même.